dernière mise à jour: 24 septembre 2006

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Dossier Evaluation            

 

[Evaluation 21 11 2005]

Réflexions sur l’évaluation dans le cadre de l’enseignement musical spécialisé (écoles de musique)


Document de travail personnel, traçant quelques pistes à développer et autour desquelles échanger et débattre

Travail d’approche, « en préambule », rédigé avant la lecture d’ouvrages spécifiques sur le sujet (C. Hadji, M. Barlow, O. Maulini et autres), ou autres travaux de recherche et d’échanges.

L ’ évaluation

L’évaluation : mot singulier pour un sujet pluriel

Essai de définition(s) de l’évaluation

Les différentes situations de l’évaluation dans le Cursus

Des éléments de l’évaluation

Ecoute

Questionnement

Objectifs

Evolutions

L’évaluation et les élèves

L’évaluation et le professeur

L’évaluation et le Plan d’Etudes

L’évaluation de l’enseignement

Vers des échanges en groupe de professeurs (décanats, centres, ou autres)

Evaluation et Institution (Ecole de musique)

Points flashs concernant l’évaluation


L ’ évaluation

Un mot dont souvent évoqué, aux multiples acceptions peu souvent définies clairement.

Une notion dont on souligne souvent l’importance sans porter suffisamment d’importance à sa signification et sa portée (ses significations, ses portées)

Un sujet dont il est urgent de s’occuper, cause de malentendus, ou de non-entendus. Fait partie de ces sujets que l’on évoque d’autant plus que l’on en parle moins…

Un paramètre essentiel à tout apprentissage, à toute action pédagogique, artistique.

L’évaluation : mot singulier pour un sujet pluriel.

Le plus souvent associé à la notion d’examen, il en perd de sa substance et sa portée est confinée à une notion de contrôle, d’inspection, de jugement, quand bien même on essaie d’arrondir les angles en parlant d’évaluation formative. [L’évaluation devient souvent sujet de crainte, de fixation, de « but paralysant », de carotte/bâton, d’omnubilation…]

Pourtant l’évaluation, c’est ce qui permet continuellement d’avancer, d’imaginer le pas suivant en fonction du précédent et de l’actuel. Et lorsqu’on parle d’évaluation continue, nous pouvons clairement ressentir les craintes que cela évoque, plus que l’apport que cela signifie. Là, nous touchons aux représentations de chacun concernant le terme et la notion d’évaluation.

Alors encourageons les échanges et débats qui permettront de discerner de quoi chacun parle quand il s’agit d’évaluation pour se donner une chance de se comprendre et d’apprendre les uns des autres.

Essai de définition(s) de l’évaluation

sur la base de la pratique pédagogique.

Chacun des points évoqués demandera un développement spécifique, et une mise en rapport avec les différents ouvrages et travaux de recherche sur le sujet, principalement en ce qui concerne les sciences de l’éducation

Les différentes situations de l’évaluation dans le Cursus

(pour ne pas dire les différents « niveaux »)

  • Evaluation « permanente », essence de l’apprentissage, composante permanente de la pédagogie
    • Evaluation « actuelle » [1] , écoute portée sur l’action, qui peut être un note, un fragment, une phrase, un morceau, …
  • Evaluation « événementielle », suite à des événements spécifiques
    • Audition, « performance », concert, ou autre production événementielle, qui pourrait aussi se dérouler dans le cadre d’une leçon ou d’un atelier
  • Evaluation « bilan », au terme d’un projet défini dans le temps
    • Atelier particulier, stage, trimestre, année, autre…
  • Evaluation « ponctuelle », spécifique dans le cadre du cursus
    • Ecoute par des personnes « externes », évaluations en lien avec des passages de paliers ou fins de cycles, …

Quatre situations principales, entre lesquelles trouveront leur place d’autres situations d’évaluation. Si à lire dans un énoncé comme celui-ci cela l’énumération peut paraître une multiplication contraignante, dans la pratique, elles devraient être « naturellement » intégrées dans la « respiration » pédagogique. En regard du cheminement d’apprentissage de l’élève, il doit être possible de dégager ces différentes situations vécues d’évaluation, et non le contraire (considérer ces situations comme des « rajouts » à insérer dans l’apprentissage). A partir de là, quelle évaluation faisons-nous de notre pédagogie face à l’évaluation, quelles interrogations sont soulevées, comment travailler le sujet, vers quels objectifs pédagogiques tendre, par quel chemin ?

 

Des éléments de l’évaluation

Ci-après, quelques points en jeu dans l’évaluation, compris dans le champ le plus large. Il s’agit de quelque points relevés et brièvement traités ; chacun demande une réflexion plus approfondie et un développement conséquent. Loin de l’exhaustivité, la liste suivante sera complétée par chaque lecteur.

Ecoute

  • Premier élément pour l’évaluation : la prise des informations. L’écoute (évaluation de l’action musicale) est l’élément premier à mettre en éveil à développer ; et aussi se développe au contact de l’évaluation
  • Guider l’écoute. En définissant l’objectif de l’écoute, l’objet de l’évaluation, cela ouvre l’attention sur celui-ci, et, pour celui qui joue ouvre l’attention sur ce qu’il va jouer, le rend plus actif dans son jeu.
  • Objectifs d’écoute. Que ce soit pour l’élève qui joue ou pour une personne « externe » qui l’écoute, définir ce qui est en jeu en ce moment est primordial pour une évaluation conséquente.
  • Ecoute, perception, développement de l’oreille. Développer la virtuosité de l’écoute, sa mise en activité, stimuler avec divers objectifs. Comment se développe l’écoute au long de l’apprentissage, de la pratique, comment l’évaluer, quelle importance donner à cette évaluation, comment l’inscrire dans l’évolution de l’élève ? 

Questionnement

  • Plus que les réponses, en tout les cas avant celles-ci, (se) poser les bonnes questions est un élément moteur de la progression. Questionner, c’est aussi donner des objectifs d’écoute, un moyen de mettre l’oreille en état d’alerte, d’ouverture, d’exacerbation de la perception.
  • Comment questionner les élèves, comment les aider à (se) poser les questions qui permettront d’évaluer ce qu’ils ont joué, jouent, de s’évaluer eux-mêmes comme acteur de leur jeu.
    Quelle perception ont-ils eu de ce qu’ils ont joué, comment se sont-ils senti en jouant, de quoi sont-ils spécialement satisfait, que pensent-ils pouvoir changer, améliorer, quelle écoute de l’ensemble, qu’elle écoute du son, du rythme, des nuances, de l’énergie, des autres, … ? Le cas échéant, quelle écoute a-t-il ressenti des autres ?
  • Evaluation par comparaison ; un élément (son, fragment, phrase, mouvement, morceau) , joué deux fois successivement : quelle différence, quelle préférence, quel souvenir ?
    Comment était le début, l’amorce, « l’attaque » ? Comment était le terminaison, la fin, le silence consécutif,…  ?
  • Comment travailler avec l’évolution de l’élève (enfant, adolescent, jeune adulte, adulte, garçon, fille) ? Quelles représentations, quelle perception de ce qu’ils ont joué et de comment ils ont joué, en fonction de leur développement ?
    Une approche par le domaine des neuro-sciences, de la neuro-pédagogie est à explorer et développer.
  • Comment guider l’élève sur la piste des réponses ? La réponse est souvent déjà dans le fait de poser la question ; par exemple : en rejouant l’élément en question après avoir évoquer les questions, et déterminant les objectifs d’écoute, l’élève souvent y trouve alors la réponse, ou y a répondu en jouant, permettant d’autres questions, implicites ou explicites, qui le guideront vers le pas suivant.

Objectifs

  • Quels objectifs à évaluer ? Quels objectifs avec l’évaluation ? 
  • A l’instar de l’évaluation les objectifs
    • Sont des éléments souvent évoqués mais peu définis ; et leur définition varie selon le contexte ; « objectif » est aussi un mot aux définitions plurielles
    • Si situent à plusieurs « niveaux » qu’il s’agit à chaque fois de préciser
  • Une écoute, un évaluation sans objectif défini peut-elle avoir un sens ? Ou il y a-t-il une écoute, une évaluation « universelle » qui serait capable d’englober l’ensemble des paramètres en présence ?
  • Objectif de l’instant, objectif dans l’immédiat, d’une leçon, entre deux cours, avec un morceau écrit, une improvisation, sur un court / moyen / long terme, d’un atelier, avec un ensemble…
  • Comment fixer, définir un objectif avec l’élève, comment « faire un bilan » par rapport à cet objectif.
  • Comment donner les moyens à l’élève de se fixer des objectifs, d’en évaluer la portée, l’apport, l’atteinte ou non.
  • Comment une pédagogie par objectifs ?

Evolutions

  • Comment avec l’évaluation porter un regard (une écoute) sur l’évolution. Comment situer les différentes phases / strates d’évaluation dans l’évolution de l’élève, de son apprentissage ?
  • De même pour l’enseignement, pour le plan d’études ; la pédagogie est une évolution permanente, en constante « révolution » ; aussi l’évaluation doit être de toutes les composantes, dans une cohérence évolutive, et ne peut pas ne concerner qu’une partie qui serait l’élève.

L’évaluation et les élèves

  • Comment l’élève peut-il mesurer, apprécier son évolution, sa progression ? Comment l’amener à prendre conscience de sa manière d’évoluer, de progresser dans son apprentissage ? Comment l’amener à être son auto-évaluateur ?
  • Quelles représentations l’élève a-t-il de l’évaluation ? Quel rapport fait-il avec les évaluations pratiquées dans sa scolarité ? Quelle attente a-t-il du commentaire du professeur ? Comment, en tant que professeur nous mettons en lien l’élève et l’évaluation ?
  • Quels bénéfices peut retirer un élève des évaluations ? Comment les comprend-il ?
  • Dans ce qui est l’évaluation – examen, quelles peuvent être ses attentes, ou que va-t-il y chercher ?
    Quand bien même les situations d’examens ont évolué, ouvrant sur différentes formes possibles, sa représentation a-t-elle changé ? Son attente (celle du professeur aussi) n’est-elle pas encore fortement fondée sur le fait de passer ou ne pas passer, « réussir » ou « rater » ? Avec cette préoccupation, quelle portée peuvent avoir les commentaires qui lui sont fait ?
  • En musique (ou autre discipline artistique), quels sens ont et peuvent avoir les mots « réussi » ou « raté » ?

L’évaluation et le professeur

  • Comment imaginer son rôle d’évaluateur, comment s’y implique-t-il, comment aide-t-il l’élève à s’y impliquer ?
  • Quelle évaluation peut-il réaliser de son activité avec l’élève, avec les élèves
  • Le travail en équipe pédagogique peut être une entrée pour un travail sur (avec) l’évaluation, permettant à la fois de prendre le recul nécessaire, de chercher des résonances à son activité, à « oxygéner » l’évaluation, et l’enseignement
  •  

L’évaluation et le Plan d’Etudes

  • Dans les Plans d’études, l’évaluation est mentionnée essentiellement pour situer les examens de fins de paliers, tout en reportant le modèle « traditionnel », légèrement aménagé
  • En reconsidérant les Plans d’Etudes, document de référence pour situer le cadre de l’enseignement et des études dans l’Ecole de musique, il serait nécessaire de consacrer un chapitre à l’évaluation, de manière ouverte, en en présentant les différentes composantes, les multiples enjeux et perspectives.
  • Effectuer une recherche sur l’évaluation apporte un éclairage à celle sur les Plans d’études, propose une autre entrée dans ce chantier. Avancer de paire ces deux domaines s’imbriquant paraît indispensable.
  • Plans d’études et Cursus : l’intégration des cours complémentaires dans le Cursus de l’élève appelle à considérer l’évaluation également dans la globalité de son parcours, et imaginer la circulation des informations d’évaluation de l’ensemble des cours et ateliers suivis, penser l’évaluation aussi dans la « transversalité ». Et ceci non seulement avec les cours de FMB, mais bien de l’ensemble des cours et ateliers ayant tous une importance certaine dans le parcours et le développement de l’élève.
  • La réflexion autour du Plan d’études et de l’évaluation appelle à un reconsidération de ces deux éléments « liés » ; le « Plan d’études » ne doit-il pas s’émanciper d’une verticalité empilant des savoirs élémentarisés pour trouver sa définition dans une conception « modulaire » de l’enseignement et donc de l’apprentissage ? Ce qui induit, implique une approche revisitée de l’évaluation, et réciproquement…

L’évaluation de l’enseignement

  • Au delà de la qualification de « bon » ou « moins bon » enseignement, il s’agit là d’évaluer la pertinence de celui-là. L’enseignement proposé est-il en phase avec les besoins des élèves pour leur apprentissage (de l’élève pour son apprentissage) ?
  • Analyser, interroger l’enseignement, au niveau des programmes, des plans d’études, des professeurs, de l’institution, pour l’actualiser, en fonction des différentes composantes « environnementales », des contextes et des évolutions artistiques, pédagogiques, sociologiques, ….
  •  Comment prendre de la distance pour évaluer cette pertinence nécessaire, pour étudier la carte des chemins parcourus et à parcourir, à entretenir et à inventer.

Vers des échanges en groupe de professeurs (décanats, centres, ou autres)

S’il est bénéfique et important que des échanges de réflexions et de pratiques sur l’évaluation se concrétisent entre enseignants, il est nécessaire de bien préparer les points ad hoc pour viser une utilité et une direction à ces rencontres

Partir de la représentation que les enseignants ont/se font de l’évaluation. Chacun la conçoit d’une manière spécifique en regard de sa conception pédagogique. Lors de discussion sur l’évaluation, sur les examens le plus souvent, nous parlons d’un même sujet sans vraiment parler du même sujet. L’implicite concernant le sujet est très fort et se nourrit d’une pratique d’usage devenue « tradition » et considérée encore souvent comme logique institutionnelle se perpétuant sans être réellement (re-)interrogée. Ainsi, chacun a une représentation personnelle de l’évaluation et des examens, alors que lorsque l’on en parle, et notamment pour l’organisation des sessions d’examen, c’est en le considérant comme objet à signification logique et universelle.

Aussi, les premières questions auxquelles chaque participant au groupe devrait répondre seraient :

  • Quelle représentation de l’évaluation
    • dans le cadre de son enseignement ?
    • dans l’apprentissage des élèves ?
  • Quels objectifs met-il dans les examens
    • En regard de son enseignement
    • En regard du parcours de l’élève ?
  • Quelles interrogations a-t-il sur l’évaluation, sur les examens ?

Dans un deuxième temps

  • Imaginer les formes d’évaluations en adéquation avec leur conception pédagogique et l’apprentissage des élèves
  • Imaginer le format approprié des prochains examens concernant leurs élèves

A la suite de quoi, une synthèse des réponse et un bilan des échanges permettra d’imaginer le prochain pas du travail sur l’évaluation.

Pour rendre plus constructif ces échanges, donner clairement et suffisamment tôt ces points de réflexion, en demandant que chacun viennent avec un texte qui facilitera la synthétisation des réponses. Certes, la formalisation n’est pas une pratique courante pour les enseignants, mais elle permet de mieux se situer et de (mieux) faire avancer les travaux.

En même temps, concernant le groupe lui-même, définir les objectifs des travaux et les moyens que l’on a et que l’on se donne permettra d’en définir l’importance ainsi que les limites. Selon cette définition, soit les travaux entrepris pourront être profitables à une recherche à un niveau plus large, soit ces travaux pourront être confiés à un autre groupe de réflexion, existant ou à former, et dont le groupe pourra s’appuyer sur les conclusions à l’avenir.

Evaluation et Institution (Ecole de musique)

Pour explorer le vaste champ de ‘évaluation, il est important d’aller en interroger les différentes strates, et donc également la vision et la représentation institutionnelles de l’évaluation, son rôle et sa conception dans son identité d’Ecole.

Quelle signification donne la direction de l’Ecole à l’évaluation et comment s’y implique-t-elle ?

  • En général
  • Dans la démarche pédagogique
  • En regard des différentes étapes des Cursus et Plans d’études
  • Evaluation des enseignants
  • Evaluation de son action (auto-évaluation)

De quel(s) domaine(s) de l’évaluation l’Ecole pense-t-elle être « à l’aise », être « au clair » ?

Dans quel(s) domaine(s) de l’évaluation l’Ecole pense-t-elle avoir des chantiers à ouvrir, des impulsions à donner ?

Quelles sont les interrogations de l’Ecole sur l’évaluation ?

Avec quelle pertinence une recherche aurait raison d’être ?

Points flashs concernant l’évaluation

Ecoute : se donner des objectifs d’écoute, et par conséquent d’évaluation. Notamment dans le cadre du jeu de l’élève, et de son auto-évaluation. Dans le travail, la focalisation de l’écoute sur un paramètre, une donnée précise bonifie le tout, par une stimulation de l’attention. En renouvelant l’écoute sur différents paramètres, la stimulation développe et affine l’écoute, pour aller vers une « écoute globale » active.

Examens : lorsque ceux-ci seront dégagés de notions de passage, de « réussite ou non », ils prendront plus de sens formatif (ou formateur), au service de ‘élève et de son apprentissage.

« Réussite » : Un système au sein duquel tout le monde réussi, quelque soit son aptitude propre, ses « dons ». Tout le monde n’arrivera pas à un même point, mais chacun évoluera sur son chemin. Placer l’évaluation au « service » de l’élève, en différents « niveaux » (« strates »). Le but principal ne serait pas l’obtention d’un « certificat » de capacité (sans en enlever à sa valeur), mais d’avoir permis à l’élève d’évoluer dans un parcours artistique d’ouverture(s) et de qualité, en développant les valeurs humaines, relationnelles, artistiques, créatrices. En recherchant la notion d’excellence dans ces domaines en lien avec lesquels se vit la pédagogie, en respectant la personnalité de chaque élève dans son développement.

Différentiation : Dépasser la notion de « niveau(x) », signification d’une progression « verticale » et hiérarchisée pour privilégier un développement « modulaire » aux évolutions différenciées et personnalisées, en construisant par projets, objectifs, « contrats ».

Evaluation de l’évaluation : Engager l’évaluation et la réflexion la concernant sur un chemin à continuellement analyser, imaginer, entre éléments à entretenir et solutions à inventer.

Entrées : Pour un sujet si vaste, un difficulté est de trouver le meilleur moyen de l’aborder. Plusieurs entrées sont possibles et permettront de donner du relief au chantier : les examens – l’auto-évaluation – le questionnement – l’écoute extérieure – un livre - …

Subjectivité dans l’évaluation : L’évaluation dans le domaine artistique peut-elle être « objective » ? La subjectivité est un élément à étudier, un paramètre à comprendre dans la réflexion.

Débat(s) : Pour avancer dans la réflexion et le chantier « évaluation », susciter des débats dans lesquels se confrontent et s’affrontent les différents concepts, idées, visions de l’évaluation.

A suivre : réflexion ouverte, à échanger, à compléter…

… : et tout ce qui a été omis dans ce succinct document…

                        Luc Fuchs, novembre-décembre 2005

[Livres à lire : Michel Barlow: l'Evaluation, mythes et réalité, editions esf / Olivier Maulini: Questionner pour enseigner et pour apprendre, editions esf / Hadji, Charles : L'évaluation démystifiée : mettre l'évaluation scolaire au service des apprentissages. editions esf / Hadji, Charles : L’Evaluation, règles du jeu, editions esf / Philippe Meirieu: apprendre...oui, mais comment? editions esf / … ]



[1] « actuelle » : en acte, dans l’action